À propos

Pour une raison inconnue, Olivier Reymond se passionne depuis l’enfance pour la chose militaire. Malgré tout, sa carrière dans le domaine reste modeste. Passé par l’école de recrues de l’infanterie en service long en 2014-15, il est officier spécialiste au sein du KFK depuis 2022 et tente tant bien que mal d’inculquer aux aspirants officiers les bases de l’art difficile de la communication.

Outre ces considérations martiales, il dispose de quelques papiers officiels estampillés UNIL, notamment en ce qui concerne l’histoire et le français (ce qui ne l’empêche pas de faire de grossières fautes d’orthographe, la honte), est municipal PLR à Grandson et a la bonté de partager quelques articles avec la Revue Militaire Suisse, avec laquelle il collabore. Qu’il est sympa.

Comme le lecteur avisé l’aura compris, notre cher Olivier n’est absolument pas un expert de la chose militaire, ni un ingénieur en système d’armement, et pas non plus un politicien de haut rang ayant prise sur les décisions stratégiques du pays. Bon reconnaissez-le, pour ce dernier point, c’est quand même un peu dommage.

Mais, de quel droit se permet-il de donner son avis sur la question, alors? Eh bien parce qu’il en a envie, tout simplement. C’est aussi pour cela que ses articles sont toujours accompagnés de référence(s); comment le croire, sinon? Ses sources sont notamment directement issues de l’abondante documentation fédérale officielle, mais aussi des nombreux médias spécialisés dans la défense tels que la Revue Militaire Suisse et son pendant suisse-allemand, l’Allgemeine Schweizerische Militärzeitschrift (attention à ne pas se déboîter la mâchoire en prononçant cela) ainsi que le Schweizer Soldat. Leurs homologues étrangers tels que les sites français Opex360, Méta-Défense, Blablachars (oui, ça existe) et Défense & Sécurité Internationale sont très régulièrement mis à contribution, de même que les médias allemands Hartpunkt et soldat & Technik ou encore les revues autrichiennes ÖMZ, Militär Aktuell et Truppendienst. Avia News et les médias traditionnels helvétiques viennent compléter le tableau, sans parler de tous les documents consultés plus ponctuellement. En voilà un homme cultivé!

Il sera donc question d’aborder l’actualité touchant de près ou de loin à la politique de sécurité de la Suisse, le tout en « nous », parce que c’est quand même vachement plus classe. L’objectif est avant tout d’aborder ces questions et de tenter de les mettre quelque peu en lumière auprès du grand public, ayant constaté un manque dans le domaine dans le paysage médiatique romand. Ah, et pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, le ton sera parfois un peu décalé. Ne pas être expert a aussi ses avantages!